Une aide sociale est une prestation destinée aux personnes dans le besoin financièrement. Elle ne nécessite donc pas cotisations préalables de la part du bénéficiaire. Elle est généralement versée par l’Etat, le département ou encore la commune, sous réserve que le demandeur remplisse les conditions d’éligibilité. Le champ d’action d’une aide sociale varie : logement, transport, alimentation, santé, et plus encore.
Vous devez savoir que l’aide sociale n’est pas que pécuniaire. En effet, elle peut également prendre la forme d’un accompagnement et/ou d’un soutien pour faciliter votre réinsertion sociale.
Les aides ou prestations sociales sont nombreuses en France, pour s’adapter à chaque type de public et offrir une solution durable à chacun. C’est pourquoi Mes Allocs met en place un simulateur d’aides. L’objectif : vous indiquer en quelques minutes l’ensemble des aides sociales auxquelles vous êtes éligible !
Les Allocations familiales sont versées par la CAF (Caisse d’Allocations Familiales) et les caisses de mutualité sociale agricole (MSA). Elle s’adressent aux familles allocataires qui ont au moins deux enfants à charge.
Si les parents sont déjà bénéficiaires des allocations de la CAF, les aides seront versées directement à la naissance du second enfant. Il faut dans ce cas, informer la CAF de ce changement de situation (en ligne ou par courrier). En revanche, si vous n’êtes pas bénéficiaire, vous devez remplir un dossier de demande.
Le montant des allocations familiales est calculé en fonction de la composition et des revenus du ménage. Il varie aussi selon la tranche de revenus à laquelle le ménage appartient. Les allocations sont versées chaque mois et leur montant varie en fonction de la tranche de revenus à laquelle vous appartenez :
Enfants à charge | Tranche 1 | Tranche 2 | Tranche 3 |
---|---|---|---|
2 | 148,52 € | 74,26 € | 37,14 € |
3 | 338,80 € | 169,40 € | 84,71 € |
Par enfant supplémentaire | 190,29 € | 95,15 € | 47,58 € |
Majoration pour les enfants de 14 ans et plus | 74,26 € | 37,14 € | 18,57 € |
À noter que le versement des allocations es interrompu au moment où le ménage n’a qu’à plus qu’un seul enfant de moins de 20 ans à charge. L’interruption du versement est effective à la fin du mois qui précède le changement de situation.
Destinée au parent élevant seul un enfant (père ou mère), l’Allocation de soutien familial permet au parent de subvenir aux besoins de son enfant dans le cas ce dernier est privé de l’aide de l’un de ses parents.
La demande de cette aide sociale s’effectue auprès de la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou de la Mutualité sociale agricole (MSA). Son attribution dépend des situations (enfant orphelin ou non reconnu, absence de pension alimentaire, paiement irrégulier de cette aide alimentaire…).
Par ailleurs, le montant de l’ASF est de 195,85 € par mois et par enfant. Quant au montant de l’ASF différentielle, attribuée dans le cas de la perception d’une pension alimentaire, il correspond à la différence entre le montant de la pension reçue et 195,85 €. L’allocation est due à compter du mois suivant la séparation des parents.
La Paje (Prestation d’accueil du jeune enfant) fait partie des allocations de la CAF. Elle sert à financer les dépenses des parents liées à l’éducation d’un jeune enfant, dans ses premières années.
La Paje recouvre en réalité de multiples financements (dont certains sont octroyés sous conditions de ressources ou d’autres, modulés en fonction du ménage bénéficiaire), comme :
Il est tout à fait possible de cumuler la Paje avec des allocations familiales. Cette aide sociale est versée chaque mois, à partir du mois suivant la naissance du bébé, jusqu’au mois précédant ses 3 ans. Cette aide peut également être sollicitée par les couples d’adoptants, peu importe l’âge de l’enfant (la limite est tout de même fixée à 20 ans).
Pour les familles disposant de faibles revenus, l’Allocation de rentrée scolaire est une aide financière possible. Elle vise particulièrement les familles qui ont des enfants scolarisés, âgés entre 6 et 18 ans. Elle prend en charge une partie du coût des dépenses liées à la rentrée scolaire.
Elle est versée chaque année, au mois d’août, aux familles qui respectent les conditions (ressources et nombre d’enfants) fixées par la CAF et la MSA.
Le montant de l’ARS pour la rentrée scolaire de 2025 n’est pas encore connu. Mais pour la rentrée scolaire 2024, le montant de l’aide octroyée était déterminé selon l’âge de l’enfant au 31 décembre 2023 :
Âge de l'enfant | Montant de l'ARS |
---|---|
6 à 10 ans | 416,40 € |
11 à 14 ans | 439,38 € |
15 à 18 ans | 454,59 € |
Pour la rentrée 2025, les plafonds de ressources ne sont pas encore connus. Mais en 2024, ils s’élevaient à :
Nombre d'enfants à charge | Salaire d'activité |
---|---|
1 | 28 444 € |
2 | 35 008 € |
3 | 41 572 € |
4 | 48 136 € |
Par enfant supplémentaire | Ajouter 6 564 €/enfant supplémentaire au plafond |
En France, il existe plusieurs aides au logement, chacune versée par des organismes différents. Que vous soyez étudiant ou adulte, les conditions d’accès sont généralement les mêmes. On vous explique.
Cette aide sociale est réservée aux logements faisant l’objet d’une convention avec l’État. Le montant de l’APL en 2025 dépend du montant du loyer, des revenus dont vous disposez (pas ceux de vos parents), du type de logement et de sa localisation. Les conditions varient également en fonction de la région où vous faites la demande.
D’ailleurs, vous devez la faire au moment où vous emménagez, sur le site de la CAF (Caisse d’allocations familiales). Veuillez à vous munir du bail de location afin de bien remplir le dossier. Le délai d’attente avant le premier versement est d’environ deux mois.
À noter qu’une nouvelle réforme du mode calcul des allocations est en vigueur depuis le 1er avril 2020 : désormais, ce sont les revenus des 12 derniers mois qui sont pris en compte pour déterminer votre éligibilité et le montant versé.
L’avance LocaPass est une aide qui vous permet de financer le dépôt de garantie à moindre coût. Elle prend la forme d’un prêt à taux zéro proposé par Action Logement. Le montant de l’aide varie selon plusieurs critères, et ne peut excéder 1 200€.
La garantie Vitale est une caution locative pour jeunes locataires voulant couvrir leurs impayés de loyers. Ainsi, Action Logement verse les sommes dues directement au bailleur. C’est ensuite le locataire qui doit remboursement les sommes avancées, directement à Action Logement.
En vigueur depuis le 1er janvier 2016, la prime d’activité est un complément de revenus. Elle est accordée, sous conditions de ressources, aux personnes majeures salariées et indépendantes. Mais aussi aux étudiants salariés et apprentis. Environ 5 millions de Français bénéficient de cette aide aujourd’hui, versée par la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou la Mutualité sociale agricole (MSA), sur demande.
Le montant forfaitaire de la prime d’activité en 2025 est égal à 622,63 €, mais ce montant peut être différent selon la composition de votre foyer et votre situation maritale :
Composition du foyer | Montant mensuel forfaitaire de la prime d'activité |
Personne seule | 622,63 € |
Personne seule avec 1 enfant | 933,95 € |
Personne seule avec 2 enfants | 1 120,73 € |
Couple sans enfant | 933,95 € |
Couple avec 1 enfant | 1 120,73 € |
Couple avec 2 enfant | 1 307,52 € |
Par enfant ou personne à charge supplémentaire | 249,05 € |
L’aide Mobili-jeune est adressée aux alternants de moins de 30 ans en contrat d’apprentissage (ou de professionnalisation) qui travaillent dans une entreprise du secteur privé. Elle est octroyée par Action Logement et a pour but de prendre en charge une partie du loyer acquitté par le jeune.
Elle est versée pendant toute la formation en alternance et pour une durée maximale de 2 ans. Son montant fluctue entre 10 et 100€ par mois. Il est estimé en fonction du salaire touché par l’alternant.
Les régions offrent également des aides sociales aux apprentis. Parmi elles, l’aide au transport, à l’hébergement, à la restauration et aussi l’aide au premier équipement.
À cela s’ajoute un fond social d’aide aux apprentis, mis en place par les régions, à travers le CFA. Il sert à soutenir ponctuellement l’apprenti en situation de difficultés financières.
L’aide à la mobilité de France Travail permet aux demandeurs d’emploi souhaitant retrouver une activité professionnelle d’être soutenus financièrement pour les dépenses liées à leur reprise d’activité. Cette aide sociale prend en charge :
Ces aides peuvent être cumulées, dans la limite de 5 200 euros par an au total.
Dans le cas où vous débutez une formation et qu’aucune solution de financement ne vous est accordée, l’AIF peut vous aider. L’aide consiste en la prise en charge de la formation par France Travail (anciennement Pôle Emploi). Elle est accordée après étude de votre dossier, que vous soyez un demandeur d’emploi indemnisé ou non.
Si vous suivez une formation professionnelle, vous pouvez bénéficier de l’AREF. Cette aide vous permet de conserver votre allocation chômage, même pendant la durée de votre formation. Vous n’avez donc pas à vous soucier de l’impact de votre entrée en formation sur les revenus que vous percevez.
Pour celles et ceux qui ne perçoivent pas indemnités chômage, la RFFT peut vous venir en aide. Elle permet d’obtenir une rémunération mensuelle pendant la durée de votre formation. Le montant de cette aide sociale varie entre 220,92 € et 756,63 €.
Si vous êtes indemnisé par France Travail et que vous envisagez la reprise ou la création d’une entreprise, vous pouvez demander à percevoir une partie de vos droits au chômage sous forme de capital : c’est ce qu’on appelle l’ARCE. Le montant de l’aide correspond à 60 % du capital restant des droits à l’ARE. Le versement est effectué en deux fois : au moment du lancement de l’activité, puis 6 mois après le premier paiement.
Le Contrat d’engagement jeune remplace la Garantie Jeune. Il constitue un accompagnement auprès du jeune qui ne parvient pas à s’insérer ou se réinsérer professionnellement. Cet accompagnement personnalisé comprend aussi le versement d’une allocation, mensuelle, qui peut atteindre 552,29 € selon la situation du jeune.
L’aide sociale à l’hébergement (ASH) correspond à la prise en charge d’une partie des frais (ou de leur totalité) d’hébergement d’une personne âgée. Elle peut être placée en établissement ou chez un accueillant familial. Elle est versée par le département. L’ASH est octroyée si l’Ehpad destiné à héberger la personne âgée dispose de places pour bénéficiaires d’aides sociales.
Les conditions d’attribution de l’ASH sont les suivantes :
En outre, l’ASH fonctionne comme un versement complémentaire à la partie des revenus du bénéficiaire qui servent à payer l’établissement (90% de ces revenus). Ce sont ces deux éléments qui forment le prix total de l’hébergement.
90% des revenus du bénéficiaire + 10% d’aide sociale à l’hébergement = prix total de l’hébergement
L’allocation personnalisée d’autonomie (APA) est délivrée par le département. Elle sert à payer (en totalité ou en partie) les frais vous permettant de rester à domicile ou bien à être hébergé en établissement médico-social (Ehpad, par exemple). L’APA est versée par le Conseil départemental. Si vous êtes en situation de handicap, vous pouvez toucher l’Allocation Adultes Handicapés (AAH).
L’APA est une allocation d’aide aux personnes âgées de 60 ans et plus :
Cette perte d’autonomie est évaluée à travers la grille Aggir. Elle fixe plusieurs degrés d’autonomie, compris entre le Gir 1 et le Gir 6 (perte d’autonomie allant de la plus forte à la plus faible). Les bénéficiaires de l’APA sont ceux dont l’état se situe au Gir 1, Gir 2, Gir 3 ou Gir 4.
Par ailleurs, vous devez aussi résider en France de manière stable et régulière :
Il y existe deux APA différentes :
Le montant de l’APA en 2025 est déterminé selon la grille Aggir :
Gir | Montant mensuel maximum |
Gir 1 | 2 045,56 € |
Gir 2 | 1 654,18 € |
Gir 3 | 1 195,67 € |
Gir 4 | 797,96 € |
Parmi les aides au logement “classiques” accessibles en EHPAD, on trouve l’APL et l’ALS. À noter que ces deux aides ne sont pas cumulables.
Elles sont généralement attribuées sous les conditions suivantes :
L’aide au logement est versée tous les mois. Parfois, directement à l’établissement. Dans ce cas, le montant facturé sera diminué du montant de cette aide.
Les demandes d’aides au logement se font auprès de la CAF (caisse d’allocations familiales). Pour les retraités qui relèvent de la MSA (mutualité sociale agricole), c’est auprès de ce régime de protection sociale que la demande s’effectue.
La SNCF offre des tarifs réduits aux étudiants et apprentis. Pour les TER notamment, il est possible de bénéficier d’un abonnement préférentiel pour voyager entre le domicile et le lieu d’études.
En outre, la carte Avantage Jeune (qui coûte 49€), faite pour les 12-27 ans, ouvre la voie aux réductions sur les trains (TGV, TER, Intercités). À cela s’ajoutent des réductions sur des destinations européennes.
Créé en 2017, le forfait étudiant, permet aux usagers concernés de profiter simultanément des dispositifs de réduction régionaux et nationaux.
Si vous avez moins de 26 ans, sachez que vous pouvez bénéficier d’un abonnement au forfait annuel Forfait Navigo Imagine R Étudiant. Son coût est de 374,40€.
Si vous êtes en insertion professionnelle, vous avez accès (sous certaines conditions) aux chèques de mobilité. Ces chèques sont aussi adressés aux demandeurs d’emploi, âgés de 16 à 26 ans et habitant en Île-de-France. Il s’obtient avec prescription de la part d’une Mission locale. Leur coût est estimé à 4 ou 8€ et sont destinés à l’achat de billets plein tarif réduits. Si vous êtes en formation, la gratuité de votre titre de transport (pendant la durée de votre formation) est aussi une option possible.
Enfin, les chômeurs franciliens, titulaires de l’Allocation de solidarité spécifique peuvent prétendre au forfait “Solidarité transports”. La gratuité des transports est également une aide offerte par certains départements ou régions. Elle est attribuée, sous conditions, aux demandeurs d’emploi. En cas de contrôle, il est recommandé d’avoir toujours sur soi un justificatif de situation.
Dans le cadre des aides à la mobilité, l’aide au permis de conduire est un véritable coup de pouce financier.
L’aide alimentaire vous aide à obtenir de la nourriture gratuitement. Et ce, à travers des banques alimentaires et des épiceries solidaires. De plus, l’aide alimentaire peut être octroyée en liquidité ou sous la forme d’une aide à la cantine pour les enfants.
À l’instar de l’aide alimentaire, les chèques d’accompagnement personnalisé (CAP) sont destinés aux personnes en détresse économique. L’octroi des CAP se fait au cas par cas et sur instruction d’un travailleur social.
Les CAP sont des tickets dont la valeur est comprise entre 10 et 30€. Ils peuvent être utilisés dans les commerces en vue d’acheter des denrées alimentaires, des produits d’hygiène, des médicaments et des équipements pour enfants (vêtements, fournitures, loisirs).
Étant donné que les démarches administratives (dont les demandes d’aides) vous obligent à être domicilié, il est impossible pour les personnes sans domicile d’effectuer librement leurs démarches. Le CCAS met ainsi à disposition de ces dernières une aide leur permettant d’obtenir une adresse officielle. Certaines associations comme la Croix-Rouge ou le Secours populaire, offrent le même dispositif.
Le micro-crédit est un financement destiné à l’achat de biens essentiels, utiles au bénéficiaire pour retrouver un emploi (achat d’une voiture par exemple) ou suivre une formation. Contrairement à l’aide d’urgence abordée plus haut, cette aide est un prêt, pour des durées plus longues.
Le micro-crédit est fait pour les personnes dans l’incapacité de sourire un prêt bancaire classique, en raison de revenus limités.
La somme accordée dépend du projet visé et de la situation du demandeur. Elle est comprise entre 300 et 5.000€, pour une durée de remboursement allant de 6 à 36 mois. Dans certains cas, la durée peut s’élever à 5 ans.
En France, les prestations sociales sont accessibles selon des conditions générales d'attribution diverses. Bien souvent, votre demande d'aide sociale se fait directement auprès de l'état, notamment auprès des conseils départementaux (dirigé par le président du conseil général) ou de la caisse d'allocations familial (CAF). Vous pouvez solliciter : - les allocations logement (APL, ALS, la garantie visale pour les jeunes locataires etc) - les allocations familiales (PAJE, prime de naissance, ARS etc) - les aides au transport (carte navigo, carte avantage jeune etc) - les aides à l'emploi ou à la reprise d'emploi (RSA, prime d'activité, ARPE etc).
Lorsque vous vous approchez de votre période de fin de droit au chômage, sachez que vous pouvez tout de même prétendre à quelques aides sociales, en fonction de votre situation. - l’allocation de Solidarité Spécifique (ASS) - la prime de fin de droit Pole Emploi - le revenu de Solidarité Active (RSA) À cela s'ajoute des formations, la plupart du temps proposées par le Pôle Emploi : - l'aide Individuelle à la Formation (AIF) : - l’action de Formation Conventionnée (AFC) - l'action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) - la Préparation Optionnelle à l’Emploi (POE)
En France, les prestations sociales sont accessibles selon des conditions générales d'attribution diverses. Bien souvent, votre demande d'aide sociale se fait directement auprès de l'état, notamment auprès des conseils départementaux (dirigé par le président du conseil général) ou de la caisse d'allocations familial (CAF). Vous pouvez solliciter : - les allocations logement (APL, ALS, la garantie visale pour les jeunes locataires etc) - les allocations familiales (PAJE, prime de naissance, ARS etc) - les aides au transport (carte navigo, carte avantage jeune etc) - les aides à l'emploi ou à la reprise d'emploi (RSA, prime d'activité, ARPE etc).
Bon nombre d'aides sont destinées au parent isolé et en particulier à la mère célibataire, sous certaines conditions (absence de versement d'une pension alimentaire, par exemple). Parmi ces aides, on trouve : - le RSA - l'allocation de soutien familial (ASF) - l’AGEPI (aide à la garde d’enfants pour parents isolés) - la PAJE (prestation d’accueil du jeune enfant) - la prime de naissance
Si vous êtes retraité, vous êtes éligible aux aides aux personnes âgées, notamment censées prévenir la perte d'autonomie. Des aides au logement vous sont également proposées : - l'APA (L’Allocation Personnalisée d’Autonomie) - les aides au Logement (APL, l'aide personnalisée au logement; L'ALS, l'allocation de Logement Sociale et et l'ASH, révisable en cas de baisse des revenus ou des obligés alimentaires) - l’ASPA (allocation de Solidarité aux Personnes Âgées) et l’Aide à l’Amélioration de l’Habitat - la CMU-C (la couverture Maladie Universelle Complémentaire) et l’ACS (l'aide au paiement d’une Complémentaire Santé)
Les chômeurs peuvent bénéficier des aides sociales ci-dessous : - l'aide de retour à l'emploi (ARE) - l'allocation sociale spécifique (ASS), - le revenu de solidarité active (RSA), - l'allocation de retour à l’emploi (ARE)
Versé par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) ou la Mutuelle Sociale Agricole (MSA) dans certains cas, le RSA s'adresse aux personnes disposant de faibles ressources. - l'allocation de solidarité spécifique (ASS) - l'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) De plus, si vous êtes intermittents du spectacle, il vous est également possible de solliciter le RSA.
L’aide sociale légale (ou obligatoire) est une aide versée en nature ou en espèces. La demande d'aide sociale s'applique aux domaines suivants : - l’aide sociale à l’enfance (ASE) - l’insertion sociale (à travers le RSA, par exemple). - l’aide sociale aux personnes en situation de handicap (la prestation de compensation du handicap, PCH) - l’aide sociale aux personnes âgées (dont l'ASH et l'APA, par exemple)
Vous pouvez bénéficier de nombreuses aides, si vous êtes âgée de moins de 25 ans, parmi elles : - l'aide au permis de conduire (permis à "un euro par jour"), - L'aide à la recherche d'un premier emploi (ARPE), - RSA «jeunes actifs», revenu minimum pour les jeunes de moins de 25 ans en recherche d'emploi et sans ressources, - l'ARE (Allocation d'aide au retour à l'emploi), elle est cumulable avec le RSA jeunes actifs, si le montant de votre ARE est inférieur au RSA (550,93 € par mois), - Les allocations logement (dont l'APL) si vous êtes étudiant et ne vivez plus chez vos parents, - La bourse du CROUS, accessible sur conditions de ressources - Les bourses de mobilité étudiante (Erasmus, aide à la mobilité internationale etc)
Les aides sociales accessibles aux étrangers en France sont attribuées selon des conditions spécifiques : - l'allocation pour demandeur d'asile (Ada) - les prestations familiales (allocations familiales, prestation d'accueil du jeune enfant, etc.), accessibles sont certaines conditions - le RSA - L’aide médicale de l’État (AME) - Les aides locales, dont l’aide sociale à l’enfance (ASE) Pour certaines de ces aides, il faut résider en France pendant une période définie, détenir un titre de séjour etc.
Les aides remboursables sont généralement des aides sociales attribuées aux personnes âgées. Celles-ci, bien souvent, n’ont pas les moyens de payer les services dont elles ont besoin. Malgré de faibles revenus, un bénéficiaire peut disposer d'un patrimoine conséquent. Ainsi, au moment du décès, si ce patrimoine excède un un certain seuil, les organismes sociaux sont en droit de demander à la succession de rembourser la totalité ou une partie des allocations perçues. Cela vaut pour les aides suivantes : - l'ASH (l'aide sociale à l'hébergement), dont le dossier de demande doit être retiré auprès du centre communal d'action sociale (CCAS) - l'allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) - l'allocation supplémentaire d’invalidité (ASI) - le recours à une aide-ménagère à domicile - la prestation spécifique dépendance (PSD)
Il existe de multiples aides financières pour la création ou la reprise d'une entreprise. Elles peuvent inclure des financements, voire des dispositifs d'accompagnement censés assurer le développement de votre entreprise. - L'aide à la création ou à la reprise d'entreprise (ACRE) - L'aide à la reprise et à la création d’entreprise (ARCE) - L'allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) - Le nouvel accompagnement pour la création ou la reprise d'entreprise (NACRE) - Activ’Crea : la formation à la création d’entreprise de Pôle Emploi